Avec ses airs de ne pas y toucher, nul doute que la Marion Maréchal Le Pen en a fait tourner des têtes. C’est d’ailleurs de là que vient une grande partie de son succès à l’extrême-droite. Car sa plastique quasi-aryenne fait tout de suite la différence dès qu’il s’agit de faire gober n’importe quoi aux nazillons. Ce que n’ont jamais réussi à faire son grand-père le tortionnaire à grande gueule Jean-Marie Le Pen (possesseur d’un ravissant poignard des jeunesses hitlériennes), ni l’avocate aussi fêtarde que médiocre Marine Le Pen, la nièce croit pouvoir faire mieux.
De par son âge, elle représente le futur de la fange d’extrême-droite et Macron, grand amateur lui-aussi des thèses fascistes, y voit forcément une opportunité électorale, lui avec son mandat à bout de souffle.
Ceci pourrait expliquer la rencontre officieuse – finalement révélée – entre Bruno Roger-Petit « conseiller mémoire » (défense de rire) de Macron et la blondasse néo-nazie, élevée dans une école traditionaliste catholique. Une rencontre non assumée que l’Elysée a rapidement dénoncée comme étant « d’initiative personnelle ».
Mais qu’allait foutre un minable ex-chroniqueur de foot avec une telle personnalité sulfureuse, si ce n’est une mission commandée? Sa proximité personnelle avec le directeur de la rédaction du torchon fasciste « Valeurs Actuelles », Geoffroy Lejeune, lui aurait permis un tel rapprochement. C’est dire les liens ténus entre l’extrême-droite et Macron, lui qui s’était vendu comme un barrage et qui est finalement devenu un véritable tremplin pour la famille Le Pen entière!
Finissons par une anecdote croquignolesque, avant une bamboche de parodies: le père biologique de Marion, Samuel Maréchal, a été le directeur national du FNJ – les jeuneSSes du FN – et a créé la devise en 1995: « Ni droite, ni gauche, Français ! »
Cela ne vous rappelle rien?
Place aux parodies engagées.
Un mandat à bout de souffle. Un amour impossible.
Futurs oscarisés de l’extrême-droite… pour notre plus grand malheur.
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